Jennifer Linton présentait Toronto Alice, film d’animation en cours lors d’une jam session de SpeakEasy mi-octobre 2014. Cette histoire est inspirée d’Alice au pays des merveilles, mais se déroule dans un tramway à Toronto. C’est une animation en papier découpé. J’y ai trouvé un exemple très parlant pour bien cerner une des difficultés du stop-motion, la décomposition du mouvement : il s’agit d’Alice marchant, séquence de deux secondes composée de 26 images découpées et montées en boucle ; la première et la dernière image sont identiques, et le mouvement est (volontairement !) plus saccadé qu’un dessin animé classique. Le film complet est en ligne.
Jennifer Linton was talking about Toronto Alice, an animation film she is working on, during a jam session organized by SpeakEasy in October 2014. This story is about Alice in wonderland… riding a streetcar in Toronto. It is a papercut animation. There I found a relevant example to explain one of the main difficulties of stop-motion, decomposing movement: Alice walking is just deux seconds long, and is made from 26 cut-out images in a loop; the first and the last image are the same, and the movement is – voluntarily! – a bit jerky, at least more than the usual flow of regular cartoons. The whole film is online.